coronavirus

Après un intermède de quatre ans, le congrès consacré aux dommages corporels a enfin pu se tenir de nouveau fin août.

René Harlacher présente les risques qui font actuellement l’objet de toutes les attentions et explique pourquoi ces événements ne peuvent être maîtrisés qu'en unissant nos forces.

Outre la souffrance humaine, la pandémie a entraîné une augmentation considérable des risques financiers et une plus grande volatilité sur le marché financier.

Les assureurs de protection juridique ont beaucoup à faire avec la pandémie. En effet, cette nouvelle situation n’est pas sans provoquer conflits et besoins de clarification.

Thomas Helbling, directeur de l’ASA, se montre déçu de la décision du Conseil fédéral qui n’entend pas développer le concept d’une assurance pandémie.

Le Conseil fédéral a décidé de ne pas développer le concept d’une assurance pandémie.  L’Association Suisse d’Assurances (ASA) regrette cette décision.

Pourquoi une pandémie ne saurait être assurable par le seul secteur privé ? C'est expliqué dans notre dernière vidéo.  

Die Pandemie hat unser Bewusstsein für Grossrisiken geschärft, die sich privat nicht versichern lassen. Wir müssen uns Gedanken über öffentlich-private Risiko-Partnerschaften machen, meint Juan Beer. 

Une pandémie contrevient à tous les principes de l'assurabilité : elle survient dans le monde entier au même moment et ne permet pas vraiment de diversification des risques.