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L’As­so­cia­tion Suisse d’As­su­rances ASA sa­lue la ré­forme «Pré­voyance vieil­lesse 2020». Néan­moins, des cor­rec­tions sont né­ces­saires: le re­lè­ve­ment de la quote-part mi­ni­male en pré­voyance pro­fes­sion­nelle prévu par le Con­seil fé­dé­ral re­met en cause l’as­su­rance com­plète, in­dis­pen­sable pour quelque 150 000 pe­tites et moyennes en­tre­prises.

Fatca, loi amé­ri­caine uni­la­té­rale, ré­git l’échange d’in­for­ma­tions avec les Etats-Unis. L’ac­cord de col­la­bo­ra­tion con­clu entre la Suisse et les Etats-Unis qui pré­voit des as­sou­plis­se­ments dans le cadre de la mise en œuvre de FATCA ainsi que la loi d’ap­pli­ca­tion cor­res­pon­dante sont en vi­gueur de­puis 2014.

La pro­cé­dure uni­fiée de com­mu­ni­ca­tion des sa­laires (PUCS) per­met aux en­tre­prises de sim­pli­fier et d’op­ti­mi­ser leurs dé­cla­ra­tions de sa­laires, tout en ré­dui­sant le coût de telles tâches et les res­sources en per­son­nel né­ces­saires en la ma­tière.

La ré­forme de la pré­voyance vieil­lesse est in­con­tour­nable et ur­gente. Le Con­seil des Etats vient de réaf­fir­mer clai­re­ment ce cons­tat. La ré­forme doit avoir pour ob­jec­tif la ga­ran­tie des rentes ainsi que le main­tien du ni­veau ac­tuel des pres­ta­tions.

  Ivo Fur­rer, CEO Mar­ché Suisse, Swiss Life lors de la con­fé­rence de presse du 2 fé­vrier 2017

Le sport est bon pour la santé et l'ef­fi­ca­cité et il est source de plai­sir. Une bonne for­ma­tion, une juste ap­pré­cia­tion de ses ca­pa­ci­tés et un équi­pe­ment op­ti­mum ré­dui­sent le risque de bles­sures.

«Les ré­sul­tats de l’étude sont très ins­truc­tifs pour notre branche. L’étude cla­ri­fie la si­tua­tion, l’évo­lu­tion et les pers­pec­tives du sec­teur de l’as­su­rance en Suisse», ex­plique Urs Ber­ger, Pré­si­dent de l’ASA.

Ma fille a été ren­ver­sée sur un pas­sage de sé­cu­rité par une trot­ti­nette élec­trique qui l’a gra­ve­ment bles­sée. D’im­por­tant coûts mé­di­caux et d’hos­pi­ta­li­sa­tion en ont dé­coulé. Qui paie ce si­nistre?

L’étude RADANOV montre qu’un trai­te­ment psy­cho­thé­ra­peu­tique d’ac­com­pag­ne­ment peut no­tam­ment con­tri­buer dans une large me­sure à at­té­nuer les dou­leurs, mais que ce trai­te­ment doit être ap­pli­qué pen­dant plu­sieurs mois pour que son ef­fet soit du­rable.

Les as­su­reurs pri­vés suisses vien­nent de prendre con­nais­sance avec sa­tis­fac­tion du rap­port fi­nal du groupe d’ex­perts chargé du dé­ve­lop­pe­ment de la stra­té­gie en ma­tière de mar­chés fi­nan­ciers.

L’abo­li­tion du cours plan­cher de l’euro et l’abais­se­ment du taux d’in­té­rêt par la Banque na­tio­nale suisse ont pro­fon­dé­ment mo­di­fié les con­di­tions d’exer­cice des ac­teurs éco­no­miques. L’éco­no­mie suisse té­moigne d’une ex­trême ro­bus­tesse en dé­pit de ces con­di­tions.

De­puis 2006, l’As­so­cia­tion Suisse d’As­su­rances (ASA) col­la­bore avec ses par­te­naires au pro­jet pi­lote «Moins d’ac­ci­dents dus au gi­bier». Il s’agit de ré­duire le nombre de col­li­sions entre vé­hi­cules au­to­mo­biles et ani­maux sau­vages afin d’ac­croître la sé­cu­rité sur les routes suisses.