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Je quitte la Suisse dans le cou­rant de l’an­née pro­chaine, dé­fi­ni­ti­ve­ment. A quoi faut-il prendre garde en termes d’as­su­rances? Que dois-je faire pour être à nou­veau as­suré de ma­nière op­ti­male dans le nou­veau pays?

La pré­voyance éta­tique (1er pi­lier) fonc­tionne sur base de com­pen­sa­tion so­ciale et doit as­su­rer les be­soins vi­taux à l’heure de la re­traite. La pré­voyance pro­fes­sion­nelle (2e pi­lier) est une pré­voyance col­lec­tive où chaque as­suré épargne son propre ca­pi­tal-vieil­lesse.

Non seule­ment les coûts mais aussi les des­tins in­di­vi­duels dus aux trau­ma­tismes cra­nio-cer­vi­caux d’ac­cé­lé­ra­tion ont in­cité l’ASA à com­man­der plu­sieurs études sur les causes, les risques et les thé­ra­pies de cette at­teinte à la santé. Elles sont à pré­sent dis­po­nibles, ainsi que le rap­port fi­nal éta­bli en 2004 (voir ci-des­sous).

L’ASA prend acte avec re­gret des dé­ci­sions de la com­mis­sion tou­chant l’as­su­rance vie col­lec­tive, c’est-à-dire la pré­voyance pro­fes­sion­nelle pour les PME. 

L’As­so­cia­tion Suisse d’As­su­rances ASA, con­join­te­ment avec Chasse Suisse, la Pro­tec­tion suisse des ani­maux PSA ainsi que les ser­vices de la chasse et les as­so­cia­tions de chas­seurs de dif­fé­rents can­tons, s’est fixé comme ob­jec­tif la ré­duc­tion du nombre d’ac­ci­dents de la cir­cu­la­tion dus au gi­bier.

En 2015, le sec­teur suisse de l’as­su­rance s’est bien tenu en dé­pit d’un en­vi­ron­ne­ment ex­trê­me­ment dé­li­cat et af­firme ainsi la so­li­dité de sa po­si­tion. Dans le do­maine de l’as­su­rance dom­mages, les primes ont pro­gressé par rap­port à l’an­née pré­cé­dente.

Les of­fices AI et les as­su­reurs d’in­dem­ni­tés jour­na­lières de ma­la­die ont passé une con­ven­tion, avec pour ob­jec­tif de créer les con­di­tions vou­lues pour per­mettre un re­tour aussi ra­pide que pos­sible dans le monde du tra­vail de per­sonnes qui y étaient inaptes et d’évi­ter ainsi leur « in­va­li­di­sa­tion ».

Le sec­teur suisse de l’as­su­rance pri­vée a en­re­gis­tré de bons ré­sul­tats en 2013: en dé­pit d’une con­jonc­ture dif­fi­cile et de la fai­blesse per­sis­tante des taux d’in­té­rêt, la branche de l’as­su­rance con­ti­nue sur sa lan­cée et af­firme son ef­fi­ca­cité.

A la de­mande de l’As­so­cia­tion Suisse d’As­su­rances, une équipe de cher­cheurs de la Haute école de Lu­cerne s’est pen­chée sur l’exer­cice de la con­cur­rence en termes de prix et de qua­lité dans le sec­teur suisse de la santé. Ces ana­lyses se sont con­cen­trées sur les né­go­cia­tions ta­ri­faires.

L’As­so­cia­tion Suisse d’As­su­rances ASA a nommé Tanja Ko­cher comme cheffe du dé­par­te­ment de la com­mu­ni­ca­tion et membre de la di­rec­tion. Elle pren­dra ses fonc­tions au 1er sep­tembre 2015.

Pour des rai­sons de sé­cu­rité ju­ri­dique et d’éga­lité de trai­te­ment, l’As­so­cia­tion Suisse d’As­su­rances ASA es­time ju­di­cieuse une ré­gle­men­ta­tion por­tant sur l’«out­sour­cing», à sa­voir sur l’ex­ter­na­li­sa­tion de ser­vices.