Numérisation

Des col­la­bo­ra­teurs com­pé­tents et pro­fes­sion­nels sont in­dis­pen­sables au suc­cès et à la com­pé­ti­ti­vité des so­cié­tés membres de l’ASA.

Pour ren­for­cer la sé­cu­rité, la marche à suivre en cas de si­nistre doit être in­té­grée dans les ré­flexions sé­cu­ri­taires. 

L'ASA sa­lue les ef­forts vi­sant l’amé­lio­ra­tion des échanges de don­nées nu­mé­riques dans les as­su­rances so­ciales et la dé­fi­ni­tion des bases lé­gales cor­res­pon­dantes.

Le sec­teur de l'as­su­rance est stable et orienté vers le long terme. En sou­te­nant les in­di­vi­dus et les en­tre­prises, il fa­vo­rise la pros­pé­rité de l'éco­no­mie. In­ter­view avec l'ASA sec­tion Tes­sin.

L'ASA re­com­mande six prin­cipes d'IA pour le sec­teur de l'as­su­rance. San­dra Kur­mann, res­pon­sable du sec­teur Con­di­tions cadres à l'ASA, prend po­si­tion.

L‘IA re­cèle le po­ten­tiel né­ces­saire pour amé­lio­rer des pro­ces­sus le long de la chaîne de créa­tion de va­leur de l’as­su­rance. L’ASA re­com­mande six prin­cipes ap­pli­cables à l’IA en as­su­rance.

Le sec­teur de l'as­su­rance a dou­blé sa va­leur ajou­tée et dopé la pro­duc­ti­vité de son tra­vail. Si cette amé­lio­ra­tion de la pro­duc­ti­vité est es­sen­tielle pour la Suisse – elle ne va pas du tout de soi.

L’IA est-elle vrai­ment bonne – et quel rôle joue-t-elle pour le sec­teur de l'as­su­rance ? Pro­fes­seur d'in­for­ma­tique et d'éco­no­mie à la Haute école de Lu­cerne, Sita Ma­zum­der fait le point.

Dans le sec­teur de l’as­su­rance, l’in­tel­li­gence ar­ti­fi­cielle as­sume de plus en plus de tâches ré­pé­ti­tives, ana­lyse de grandes quan­ti­tés de don­nées et amé­liore l’ex­pé­rience client.