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La loi sur le con­trat d’as­su­rance (LCA) ré­git les re­la­tions con­trac­tuelles entre les com­pag­nies d’as­su­rances et leurs clients. La ré­vi­sion a pour ob­jec­tif une mo­der­ni­sa­tion de la loi et la prise en compte d’at­tentes jus­ti­fiées en ma­tière de pro­tec­tion des con­som­ma­teurs.

Urs Ber­ger, Pré­si­dent de l’As­so­cia­tion Suisse d’As­su­rances As­sem­blée gé­né­rale, 21 juin 2012

En Suisse, les in­té­rêts des clients des com­pag­nies d’as­su­rances sont bien pro­té­gés com­pa­rés à d’autres pays ou d’autres branches. Par ail­leurs, toute nou­velle me­sure pro­tec­trice doit être bien ré­flé­chie, car elle peut aussi al­ler à l’en­contre des in­té­rêts des con­som­ma­teurs.

Dans sa ré­forme de la pré­voyance vieil­lesse, le Con­seil fé­dé­ral s’en tient pour l’es­sen­tiel à ses lignes di­rec­trices de juin 2013. Or, jus­te­ment pour la quote-part mi­ni­male en pré­voyance pro­fes­sion­nelle, il s’écarte de sa propre pro­po­si­tion qui con­sis­tait d’abord à sou­mettre ce taux à une ex­per­tise ex­terne.

En réi­té­rant une énième fois leurs re­quêtes re­la­tives à l’as­su­rance-vie col­lec­tive, les syn­di­cats met­tent en dan­ger la ga­ran­tie de la pré­voyance des pe­tites et moyennes en­tre­prises et celle de leurs col­la­bo­ra­teurs.

La Swiss In­su­rance Me­di­cine (SIM) a ajouté des for­mu­laires pour les éva­lua­tions de la (in)ca­pa­cité de tra­vail. Les quatre cer­ti­fi­cats sui­vants peu­vent être té­lé­char­gés sur le site In­ter­net de la SIM.

Il res­sort d’une en­quête réa­li­sée au­près des as­su­reurs in­dem­ni­tés jour­na­lières et ac­ci­dents, que 60% en­vi­ron des sa­la­riés re­pren­nent leur tra­vail un lundi après un ar­rêt pour cause de ma­la­die ou d’ac­ci­dent et ce, que leur ab­sence ait duré quelques jours ou plu­sieurs se­maines.

Ci­cero est le la­bel de qua­lité des con­seil­lers en as­su­rance. Il est le gage d’une très grande qua­lité en ma­tière de con­seil en as­su­rance. L’ASA lance au­jour­d'hui une cam­pagne d'in­for­ma­tion.

Au tra­vail, à la mai­son ou pen­dant les loi­sirs – il vaut mieux bien les re­gar­der. En ef­fet, seul ce­lui qui tient compte des sym­boles de dan­ger et des con­seils de sé­cu­rité men­tion­nés sur l’éti­quette peut se pro­té­ger et pro­té­ger les autres.

A da­ter du 1er jan­vier 2016, les as­su­reurs-ma­la­die Hel­sana, CPT et Swica re­joig­nent l'As­so­cia­tion Suisse d'As­su­rances ASA, qui compte ainsi sept as­su­reurs-ma­la­die parmi ses membres.