Après une transplantation d’organe, les patients doivent prendre des médicaments à vie pour lutter contre les réactions de rejet du corps. Or, de tels médicaments fragilisent les malades qui sont alors plus sensibles aux infections et aux tumeurs. Lors de la transplantation d’organes vitaux, il faut accepter ce risque. Mais qu’en est-il dans le cas d’une transplantation de la main? Pour cette raison liée à la fragilisation des défenses immunitaires, les assurances-accidents n’indemnisent généralement que la prothèse et non la transplantation.
Le nouveau numéro d'InfoMéd se penche sur les problèmes liés à la médecine de la transplantation et les examine sous différents points de vue: société, éthique, médecine et médecine des assurances.