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Pour toutes les ques­tions que vous vous po­sez sur l'as­su­rance, adres­sez-vous à des pro­fes­sion­nels cer­ti­fiés Ci­cero et pas à n'im­porte quel qui­dam dans la rue.

De nos jours, il est dif­fi­cile de sé­pa­rer la vie pro­fes­sion­nelle de la vie pri­vée. La cam­pagne «dé­con­nec­ter-re­char­ger» aborde cette thé­ma­tique au tra­vers de pe­tits courts-mé­trage plein d'hu­mour.
 

La Haute école de Lu­cerne a étu­dié l'im­por­tance de la pré­voyance pro­fes­sion­nelle pour les PME. Celles-ci ap­pré­cient sur­tout la li­berté de choix dont elles dis­po­sent.

Le tour­nant dé­mo­gra­phique met à mal la pré­voyance vieil­lesse fi­nan­cée par ca­pi­ta­li­sa­tion. Une étude dé­crit les grandes ten­dances et leur im­por­tance en termes de pré­voyance.

Les as­su­reurs-vie sont les seuls à of­frir une cou­ver­ture d’as­su­rance com­plète aux PME. Une fois de plus, Tra­vail.Suisse nie les be­soins de ces en­tre­prises.

Le Con­seil fé­dé­ral a dé­cidé au­jour­d'hui de fixer le taux d'in­té­rêt mi­ni­mal LPP ap­pli­cable en 2017 à 1%. Une ré­duc­tion de ce taux au­rait été la bien­ve­nue.

Jan Müh­le­tha­ler de­vient chef du dé­par­te­ment des af­faires pu­bliques et de la com­mu­ni­ca­tion au 1er mars 2018 ainsi que membre de la di­rec­tion de l’ASA.

Le sys­tème suisse de pré­voyance se trouve face à d’im­por­tants dé­fis éco­no­miques et dé­mo­gra­phiques. Après le non à la ré­forme «PV 2020», de nou­velles me­sures doi­vent suivre ra­pi­de­ment.

Se­lon l’ASA, le taux d’in­té­rêt mi­ni­mal de­vrait être dé­ter­miné en fonc­tion des pro­duits réa­li­sés par les pla­ce­ments sûrs comme les obli­ga­tions fé­dé­rales et ne de­vrait donc pas ex­cé­der 0,5%.