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Notre place fi­nan­cière est l’une des plus im­por­tantes au monde. En Suisse, un franc de créa­tion de va­leur sur dix est issu du sec­teur fi­nan­cier. 

L'ASA prône une pro­tec­tion mo­derne des clients et sou­tient la ré­vi­sion al­lé­gée de la LCA dé­cou­lant du man­dat du Par­le­ment.

Rolf Dö­rig est le nou­veau pré­si­dent de l'ASA. Il suc­cède à Urs Ber­ger qui a oc­cupé ce poste pen­dant six ans.

La com­mu­nauté in­ter­na­tio­nale du sec­teur de l'as­su­rance s'est re­trou­vée au­jour­d'hui à Zu­rich pour échan­ger sur la nu­mé­ri­sa­tion et les cy­ber­risques.

L'ASA sou­tient l'orien­ta­tion de la ré­vi­sion de la LPGA qui vise une meil­leure ob­ser­va­tion en cas de fraudes à l'as­su­rance. Or, la LPP aussi doit être adap­tée.

Si l'ASA con­si­dère Pré­voyance vieil­lesse 2020 comme in­suf­fi­sant, elle ne se pro­nonce néan­moins pas contre le pro­jet.

La ré­vi­sion de la loi sur la pro­tec­tion des don­nées est im­por­tantes pour le sec­teur de l'as­su­rance. Elle ne doit tou­te­fois pas dé­bou­cher sur une sur­charge ad­mi­nis­tra­tive.

L’adop­tion par le Par­le­ment de la ré­forme «PV 2020» est un pas im­por­tant, cer­taines dé­ci­sions vont néan­moins à l'en­contre des in­té­rêts de la pré­voyance pro­fes­sion­nelle.

La ré­forme de la pré­voyance vieil­lesse per­met une sta­bi­li­sa­tion du sys­tème de pré­voyance. L'ASA en ap­pelle aux Chambres pour qu'elles s'ac­cor­dent sur un pro­jet viable.